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 Stella - L'étoile de votre passé [civil] - end

Stella P. Moirans
Stella P. Moirans

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Date d'inscription : 12/02/2014
Messages : 3
ID card : 28 ▬ professeur ▬ valea


Stella - L'étoile de votre passé [civil] - end 69uU0ZA

Sujet: Stella - L'étoile de votre passé [civil] - end
Mar 4 Mar - 10:11


Moirans P. Stella
L'étoile montante de l'Histoire.

DÉNOMINATION ► Stella Perséphone Moirans
SURNOM ► Lala ▬ Stell ▬ Mademoiselle ▬ Prof'
AGE ► 28 ans
ORDRE ► Civils
HABITATION ► Veala
LIEU DE NAISSANCE ► Hwayoso
MÉTIER ► Enseignante en histoire.
AVATAR ► C.C de Code Geass

COMMENT JE L'AIME

J'ai longtemps aimé la chevelure à la couleur si particulière de Stella. Comme des graminées sous le vent, ses cheveux semblaient jouer avec l'air lorsqu'ils s'envolaient derrière le visage impassible de Stella. Un visage magnifiquement tracé, des traits comme tracé par un artiste talentueux... et amoureux. C'est moi. Je me donne l'importance de l'avoir créé alors que je n'en ai pas le droit. Où est le mal ? Je suis attiré par cette jeune femme que je ne fais que regarder de loin. Au début je ne peignais que ce que mes yeux voyaient. Maintenant, je la peins elle. Cette femme à la double personnalité, cette femme perdue dans ses cauchemars. Pour se venger, elle hante mes nuits et mes jours sans relâche. Ses grands yeux clairs et vides lorsqu'elle est en transe me font entrer dans la danse.

Elle ? Oui parlons en. Elle est perdue. Comme en transe, elle en vient à ne plus être qu'un roche de force et de colère. Je ne sais comment elle parvient à changer autant. Et pourtant. La précieuse devient dangereuse. Énervée, paniquée, elle a peur. Je ne viens pas la sauver, devant cette beauté. Une beauté sombre d'une perte de mémoire. Elle ne sait plus pourquoi elle est là. Elle ne sait pas ce qu'elle a put faire. Horreur de l'oubli. Je l'aiderai si elle n'en peut plus. Je serai là si elle a besoin de moi. Pour le moment, têtue, elle se contente de son travail pour oublier. Simple. Trop facile. Mais tu es prise dans la toile d’araignée de la maladie. Tu es perdue. Un jour tu avouera, que tu as besoin de moi. Que tu veux de l'aide, que ton caractère fort ne fera pas tout...

«Quand elle n'est plus elle même, je ne suis plus moi.
Quand elle n'est plus elle même, je l'aime.»


« Je pense être la preuve vivante qu’il ne faut pas se fier aux apparences. »

Mais avant tout ça, c'est une femme pleine de vie. Un caractère bien trempé mais qui ne me charme pas moins. Elle sait ce qu'elle veut. Elle sait ce qu'elle aura. Rien ne lui échappe et rien ne peut lui être interdit. La jeune enseignante ira jusqu'au bout pour avoir ce qu'elle souhaite. Curieuse en plus de cela, Stella pose souvent des problèmes à ceux qui l'entourent. Ils râlent. Ils s'énervent. Et un jour elle aura des ennuis. Mais ce jour là, je serai là.

«Quand elle quitte le train, je finis pas la suivre.
Quand elle quitte le train, je la regarde au loin.»


Le train. Chaque jour elle quittait l'université pour rentrer chez elle. Ce n'était pas ma route. Pourtant je faisait ce détour. Je l'accompagnais comme pour la rassurer. Sauf qu'elle ne le sait pas.

Mikhail Kahley. Je suis un hors la loi. Je crache sur ces  hauts placés. Un nouveau conseiller, tch. Mais je sais, j'avoue que ma haine envers lui est aussi par jalousie. Ce sentiment tellement faible. Tellement humain. Elle l'aimait. Oui, ma douce était amoureuse de cet homme au cœur de pierre. Je le savais, ses envies se lisaient sur son visage. Et pourtant je n'a rien put empêcher. Que pouvais je faire. Je n'étais qu'une groupie, que certains appellent pervers, cachée dans l'ombre. Je n'allais pas arriver comme une fleur bleue sur le devant de la scène et lui dire que son bonheur n'allait pas durer. Je n'avais aucun droit et cela me détruisait. C'était l'Wëynae. Comme un signe du destin pour montrer que les ennuis allaient aller bon train. Elle perdit son rêve de devenir Archiviste quand elle fut prise au piège. On l'avait vu errer là où elle n'aurait pas dut être et tout s'écroula.

« Archiviste. Le plus précieux cadeau qu'aurait put m'offrir ce monde. Sans doute la seule chose que je désirais autant. Le devenir c'est tout connaître du passé, maîtriser un savoir sans fin et prédire le futur. C'est ma passion pour les souvenirs et les cultures que aurait pu être comblée. Je n'aurai plus eu cette faim sans fin de tout savoir du monde qui m'entoure, de vouloir apprendre de mes ancêtres simplement en lisant les livres qu'ils nous on laissé. Mais je n'ai pas put. Je n'ai pas eu cette pierre précieuse qui était pour moi la connaissance. Ce diamant interdit a coulé sous mon île au trésor... »

Comme par hasard cet homme lui offre une place d'enseignante. Je suis sur que ce n'était que pour la faire taire. La voilà donc professeur d'histoire. Ravissante. Joyeuse, elle est apprécie de ses élèves. Passionnée, elle arrive à partager l'histoire à tous. Attentionnée, elle fait tout pour ceux qui ont la chance de pouvoir l'écouter. Je ne suis plus un enfant, j'attends simplement la fin des cours pour la raccompagner chez elle.

COMMENT J'AI TOUT DÉCOUVERT

Car oui, maintenant je peux l'emmener. Nous sommes deux dans la voiture. Le train n'est plus. Et moi, j'ai la chance de passer un instant avec elle. Douce Stella si vivante et si douce.

«Quand on est à côté, tu as les lèvres serrées.
Quand on est à côté, tu me raconte ton passé.»


Ma précieuse n'a pas toujours eu de chance. Elle se dit avoir de la chance d'avoir une famille, d'avoir manqué de rien. Oui, elle n'a vécu comme Rémi sans famille et moi, je l'autorise à pleurer à l’abri de la carrosserie de ma voiture, de son carrosse. Ma douce est née à Hwayoso. Je ne la connaissais pas encore. Vous pouvez respirer. En tout cas elle ne m'en parlera pas de ses chutes d'enfant, de ses déceptions amoureuses. Elle doit avoir oublié tout ça. Elle a grandit. Pourtant j'ai déjà vu ses larmes couler. Es-tu heureuse maintenant ma Stella ? Je ne lui demanderai jamais. Mais dans son carrosse, la belle ouvre la bouche pour chanter son passé, me chanter sa vie au son de la pluie...

« J'aimais ma grand-mère paternelle. Je l'aime toujours. Elle me manque, je suis une enfant, n'est-ce pas... ? » termina t-elle avec un sourire tellement triste que je ne put rester silencieux :
Non mademoiselle. Pleurer le départ d'une personne ne devrait pas avoir de fin. Les autres vous diront peut être que c'est ridicule comme vous avez l'air de le penser. Mais c'est une force. Ça veut dire que vous avez un cœur gros comme la lune.
Je rougis presque lorsque je la vis sourire. Challenge réussis. Mais sa réponse me perturba plus que je l'aurais voulu...
« Vous êtes gentil et très poétique Monsieur. Merci de vos paroles. »
Vous pouvez vous moquer à votre tour mais ces mots me touchèrent en plein cœur. Mais poétique, moi ? Gentil, moi ? Non, je suis lâche. Car si tu savais Stella, si tu savais depuis combien de temps je te connais, je te suis, sans bruits. Je suis faible, je fais peur, ne dis pas tout ça, je ne suis pas aussi bien.La voilà qui continuait son histoire pendant que je ruminai intérieurement.
« Je suis la fierté de mes parents et c'est déjà un fabuleux trésor. Il faut dire que je suis leur seul enfant, ils voulaient sans doute une vie meilleure que la leur... Pourtant ils ne sont pas tristes non ! Surtout mon père. Ils sont éleveurs de l’Ordre de Fer et il est heureux de revivre le métier passionnant de sa mère passionnée ! »
Un instant de silence. Une parole. Elle s'excuse de parler. Je lui dit de continuer, j'aime l'écouter. Un soupir. Quelques secondes sans sourire puis il s'affiche à nouveau. Ouf.
« … Mais tu sais, je suis pas si parfaite que ça hein... Même s'il y a des jours ou j'aimerai vraiment être plus rebelle que ça. » dit-elle en riant. Tiens. Elle utilise la deuxième personne du singulier. Sommes nous devenus intime au travers du voyage ? J'aurai tant aimé.
« J'ai volé l'album photo de mes parents quand je n'étais qu'une enfant. Ce n'est rien je vous l'accorde et pourtant, c'est sûrement un des éléments qui m'a permit d'aimer autant le domaine dans lequel je travaille. Oh oui au fait, vous savez quel est mon métier ? Je suis... »
▬ Professeur d'histoire.
Flûte. Crotte. Oh et puis... merde ! C'était sortit tout seul. Je n'ai pas contrôler. Maintenant je le sentais. Même si je devais regarder loin devant moi, la route interminable, je pouvais sentir ses yeux baignés d'étonnement posés sur moi. Par crainte, j'ai posé le pied sur l’accélérateur. Un peu nerveux. Pourtant elle ne demande pas pourquoi. Elle ne prit pas peur et... me félicita presque :
« Oui ! C'est exactement ça, je suppose que je n'ai pas besoin de vous dire dans quel établissement, on a déjà dut se croiser. Désolé si je ne me souviens pas de vous. »
Non. Pitié. Ne vous excusez pas comme ça. C'est moi. Tout vient de moi.
« En tout cas, je le fais avec passion ! Et comme je le disais, l'album de mes parents y est pour quelque chose. Ce sont de vrais trésors, les albums ! Pleins de photos sépia ou noir et blanc ou encore couleur...  où toute l'histoire est racontée ! Je crois que j'aime le souvenir. Sous toutes ses formes. Sans distinction. Ahh... je passais des heures à regarder ces photos que je connaissais déjà par cœur en essayant d'imaginer différentes histoires pour arriver à prendre ce cliché. Cela allait à la situation de la famille aux aventures du photographe. » doucement la voici qui riait de temps à autre.
Un précieux rire. Un doux sourire. Beaucoup pourraient lui tourner autour. Vous aimer. Mais je refuse. Je souhaiterai vous gardez à jamais dans mon coffre fort.
« Et mes parents me savaient curieuse... mais je crois que c'était surtout pour calmer mes ardeurs que mes parents utilisaient la méthode : énigmes interminables. Ah ah, toutes les semaines j'avais le droit à une énigme. Imaginez mes pauvres parents qui devaient renouveler sans arrêt ! Je ne sais pas, je ne sais toujours pas où ils allaient les chercher mais je ne m'en lassais jamais. Le niveau de difficulté avec mon âge, c'était amusant et permettait de continuer de faire grandir ma curiosité maladive. »
Je fais un sourire. Elle me regarde et m'adresse un doux sourire.
« Oh donc vous savez sourire ? » dit elle avec une douce ironie qui ne se voulait pas méchante. Pourtant, je ne sais pourquoi... j'ai à nouveau tout cassé. A croire que c'est ce à quoi je suis destiné.
▬ Vous avez un petit ami ?
Qu'est ce qui te prend abruti ! Elle va mal comprendre... elle va croire que...
« … Non. »
Je risque un regard pour voir le visage qui s'ajoutait à une voix si triste. Mon cœur me fit mal autant que sa réponse me fit du bien. Elle avait l'air tellement solitaire d'un coup. Je reportais mon regard sur la route, rapidement, comme une fuite. Je ne voulais pas qu'elle continue. Cela était méchant pour elle. Ou qu'elle change de sujet. Mais bon Dieu, elle n'en fit rien.
« Je suis amoureuse. »
Nouveau coup de poignard mais cette fois, entièrement pour moi.
« Mikhail... » prononça t-elle difficilement dans un soupir. Elle ne donna pas son nom. Sont-ils intimes ? Quel monstre je suis.
« Je l'ai rencontré à dix sept-ans. »
Si lointain que ça ? Son amour est-il indéterrable ? Affreux. Je secoue la tête.
« … vous allez bien ? » Je hoche la tête. Elle continue bien malgré moi. « C'est un homme curieux... J'ai toujours souhaité qu'il ne manque de rien, qu'ils puissent continuer dans ses projets sans que rien ne l'empêche. Pourtant un jour, j'ai été repéré et ai abandonné mon rêve. »
J'aillais la soutenir, ouvrir un peu la bouche, à nouveau … enfin. Pourtant elle me précéda :
« … mais ça ne me dérange pas, vous savez. J'ai put l'aider comme j'ai put... et puis c'est lui qui m'a offert la chance de devenir enseignante ! Et c'est quelque chose qui m'est précieux. Surtout que mes élèves sont vraiment tous agréable. »
J'aurai voulu lui dire que c'était parce qu'elle était charmante, gaie et gentille. Mais le 'vous' m'a glacé le sang. Alors c'est la fin. Ma chance de l'avoir enfin à mes côtés et pouvoir évoluer m'était passé sous le nez. J'avais tout brisé par gourmandise. Mes yeux se perdaient dans la route. Comme le destin est affreux, comme Dieu est malicieux... la route aussi me montrait que je n'étais qu'un imbécile : nous arrivions devant chez elle. Alors, pas fureur contre moi même et... pour l'homme qu'elle aime depuis si longtemps, je lui demande une dernière fois :
Et où travaille t-il lui ?
« Il est au Conseil et... Conseiller. »
Bien. Je te trouverai et je te tuerai, obstacle de mon amour. Car ils allaient finir par être ensemble. Mais que dis je. Ils le sont. Mais il ne l'aime pas, je le sais moi ! Pas autant que moi en tout cas.
« Bonne journée à vo... »
Je n'attendis pas la fin. Quand je vis qu'elle disait au-revoir, quand j'entendis un début de cette seconde personne du pluriel que je hais tant, je détallais comme un lapin trop pressé. Un coup d'accélérateur et me voilà déjà loin.

Des larmes ? Non. Impossible. Je suis plus fort que ça.

Anonyme.


Derrière l'écran

... Bonjour à vous tous >//< Moi je suis la poire. Discrète mais avec un gros popotin. Je sais être folichonne comme très calme. Mais ne fiez pas aux apparences, je suis un vrai fruit fourbe D8 J'ai découvert le forum avec les autres fruits. Moi aussi je voulais ma part du gateau de la salade de frouit.
Pour ce qui est du RP... J'écris depuis l'âge de 14 ans. Sachant que j'ai 19 ans, je vous laisse calculer, bande de feignasse (a) J'aime la nature en général, suis passionnée de photographie et aime le violet comme personne. Je bouffe du maïs, jambon sec, thé, M&M's, ice tea, asperges à gogo !
Bon sinon on m'appelle sous pleins de noms mais je vais vous épargner les plus tordus... disons que je peux vous réveller : Fubu, Monster*Addict, La Grenouille... libre à vous de m'en donner d'autre =D
Que dire d'autre... L'icon de ce paragraphe sur ma personne est celle d'un de mes mangas préféré. Je vous laisse deviner lequel il est ;)
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